Les bottes de sept lieues ? Un contrat en perspective -Flash back [feat Mr Gold ]
Les bottes de sept lieues ? Un contrat en perspective -Flash back [feat Mr Gold ] Dim 25 Mai - 21:11
Invité
Liste des Participants : 1° Maximilien / 2° Mr Gold
Contexte (date/ambiance) du sujet : Ce flash back se déroule le jour ou la malédiction à été rompue. Une certaine joie et angoisse étaient présentes dans la ville. Max quant à lui est decidé à retrouvé ses bottes chez Mr Gold.
Période de la journée : Fin d'après-midi Météo : Nuageuse Pour " Les bottes de sept lieues ? Un contrat en perspective", c'est parti !
Les bottes de sept lieues? Un contrat en perspective
Maximilien ~ Mr Gold
Ce jour-là, je ne savais pas encore qui j'étais, ou plutôt je croyais être une autre personne. J'étais encore ce simple garçon, dont la vie consistait à livrer des journaux le matin pour compenser les maigres moyens de mon frère Pierre alors qu'a quinze minutes de chez nous, vivaient nos parents et nos cinq autres frères. En y réfléchissant, notre histoire était tirée par les cheveux, mais lorsqu'on a que cela comme réalité, on y croit et c'est réel. J'avais donc été en cours après ma livraison de journaux comme chaque journée à Storybrooke, c'était mon quotidien. Je livrais les nouvelles chaque matin, les journaux sont des messages que l'on délivre à la population, en soi, je restais donc fidèle à mon moi-même, le vrai moi, celui du Royaume enchanté, le messager royal. J'avais donc suivi mes cours une bonne partie de la journée puis j'avais fini ma journée au collège. J'étais d'ailleurs sur mon vélo quand je fus traversé par cette sorte de vague magnétique, celle-ci qui signifiait que la malédiction était rompue, la sauveuse avait réussi ? Je manquais de tomber de mon vélo alors que je venais de freiner d'urgence. Vous ne pouvez vous imaginer quelle sensation ça fait de se rappeler une vie oubliée. De vous retrouvez avec des souvenirs se déroulant en même temps que d'autre, d'avoir deux vies sur les bras. Cette sensation est désagréable croyez moi, vous ne savez plus quoi pensée ni quoi faire. À ce moment, vous vous demandez, mais qui suis-je ? On peut dire que j'ai n'ai pas de quoi me plaindre, mon prénom de Storybrooke était Max, mon changement n'avait été que le diminutif de mon prénom, Maximilien. Le pire, c'est que les humains de ce monde lisent nos aventures à leurs enfants le soir par exemple pour les endormir. J'avais moi-même lu ma propre histoire, alors le Petit Poucet, c'était moi ? J'étais bien le petit garçon qui avait sauvé ses frères d'un Ogre en faisant assassiner ses septs fille à la place de mes frères et de moi. J'étais bien ce garçon abandonné par ses parents en pleine forêt deux fois de suite. Mais il y avait aussi des différences entre ma vraie vie et les histoires que les gens de ce monde racontent, maintenant que je me souvenais, je savais que la fin que l'on raconte n'est pas la vraie. Je ne suis pas retournée chez la femme de l'ogre pour en plus tout lui voler, il faudrait ne pas avoir de cœur pour cela, par ma faute cette femme avait perdu ses filles, elle devait être détruite. Elle avait le cœur bon, mais avait du souffrir toute sa vie... Souvent avant la malédiction, j'avais repensé à elle, mais jamais je n'étais retourné la voir. Soudain, je songeais, et si elle était à Storybrooke elle aussi, elle se souviendrait-elle aussi... Et si elle nous retrouvait, moi ou l'un de mes frères. Non, il ne fallait pas songer à cela. Je m'étais souvenue des quatorze années de ma véritable vie, je me rappelais être le messager du roi grâce aux capacités des bottes que j'avais volées à l'Ogre, mes fidèles bottes de sept lieues, qui me permettaient de franchir de grandes distances entre chaque pas. Instinctivement je baissais mon regard sur mes chaussures, mes baskets bleues que je possédais dans ce monde. Où pouvait bien se trouver mes chaussures magiques ? Je savais qu'ici il n'y avait pas de magie et que leur effet ne devait plus fonctionner mais je tenais tout de même à le reprendre.
Après quelques minutes de réflexion, je songeais au seul endroit où elle pouvait se situer. Chez Mr Gold bien évidemment, Rumplestiltskin comme il s'appelait dans notre royaume. Je n'avais jamais eu directement à faire à lui, mais mon entourage, notamment ma reine Blanche-neige l'avait déjà croiser plusieurs fois et puis qui ne savait pas qui était le légendaire Ténébreux. J'étais déjà beaucoup passé devant sa boutique pour lui livrer les journaux par le passé et j'avais vu de nombreux objets que j'avais à l'époque pensés sans intérêts, maintenant, je me souvenais, certains objets appartenaient sûrement aux membres de la communauté de Storybrooke dans leur passé. Je n'avais pas la preuve qu'il les possédait, je ne savais même pas s'il avait conscience de leur existence, s'il savait qui j'étais, mais je le sentais. Je reprenais donc ma route sur mon vélo, mais pas en direction de chez moi comme je l'avais prévu initialement, j'allais vers la boutique de l'homme le plus craint autant dans Storybrooke qu'au Royaume enchanté. Après dix minutes a pédalé intensivement, je laissais tomber mon vélo et entrais dans la boutique, observant chaque objet présent dans le but d'y trouver mes bottes, je craignais finalement mon choix, je n'avais jamais marchandé avec lui et au fond de moi, je ne tenais pas à le faire, mais j'étais près à tout pour les retrouver.
Re: Les bottes de sept lieues ? Un contrat en perspective -Flash back [feat Mr Gold ] Dim 25 Mai - 23:12
Pepsy
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Les bottes de sept lieues? Un contrat en perspective
Maximilien ~ Mr Gold
Une légère brise inattendue amena une mèche de ses cheveux dans son oeil gauche. Après un air légèrement contrarié notre homme la repoussa machinalement en arrière tandis qu'il rangeait de l'autre main un paquet dans la poche de son veston. Mais un constat vient immobiliser son geste :
* Il fait bien froid tout à coup ?*
Se retournant, l'homme balaya de ses yeux noirs le ciel et observa d'épais nuages qui semblaient apparu comme par magie. Le temps de sa conversation avec Granny avait suffit à changer du tout au tout le climat de cette journée qui pourtant s'annonçait radieuse.
* Comment cela est-ce possible ? *
Cependant, sous cette constatation futile, l'homme d'expérience dessina sur son visage un léger sourire. Il n'y avait qu'une seule explication logique : la magie en était bien la cause. Mais pour le moment, il devrait voir auprès de Régina ce qu'il se passe... C'est ainsi qu'il se dirigea vers la mairie et fut accueillit par le désespoir de la shérif... Henri, était étendu sur le sol inerte, une part de gâteau à la main. En d'autres circonstances l'homme se serrait parmi une plaisanterie, mais il savait qu'il se passait un truc très grave. Il se pencha donc sur le corps du jeune garçon avant d'annoncer son impuissance. Il n'était pas docteur après tout, pourquoi espérait-on quelque chose de lui ? Estce que Emma commençait à croire en lui. Ou encore à croire aux contes ? Savait-elle enfin ?
Se relevant, l'homme dirigea un regard profond vers celle ci, dont les yeux s'embuaient de larmes. ▬ Il à voulu ... tenta t'elle de justifier en s'étranglant par le chagrin. Je n'ai pas pus.. Gold que puis-je faire ? C'est alors qu'il avait su qu'elle était prête et qu'il répondit : ▬ Faites lui les adieux d'une mère.
Appuyant là où sa fait mal, l'homme mit à clair les espoirs qu'avait le jeune garçon à retrouver sa vrai mère et tout l'amour qu'elle avait échoué à partager avec lui. Jusqu'à remettre en doute ce qu'il lui disait... Et c'est brisée par les remords qu'elle se remémora les derniers mots qu'elle lui avait dis avant de déposer sur son front son premier et dernier baiser...
La malédiction de la reine éclata sous le coup de la plus vieille mais aussi la plus puissante magie : "L'amour".
Au fond de lui l'homme n'était déjà plus le même, il se sentait plus léger, se prenant même à rêver sans s’apercevoir que Henri se relevait déjà. Aux coeur des éclats de joies, Gold s’effaça de la pièce, discrètement sans même qu'on le soupçonne d'avoir été présent. Puis s'en retourna avec hâte à sa boutique. Dehors le climat explosait, et lui était pressé de partir... Arrivé en hâte, il ne s'occupa pas de fermer la porte et se dirigea droit vers la réserve où il se mit à regrouper ses affaires de voyage. Il ne savait pas encore qu'il lui était impossible de quitter Storybrooke, de toute manière comment pourrait-il le savoir ? Ses projets visaient bien plus loin que cela. Plus loin encore que la réalité que désormais tous les habitants de la ville se souvenait de "qui" il était. Plus loin encore que tout ses problèmes qui allaient en résultés.
Ainsi c'est bien loin de se douter de ce pourquoi il était entré,qu'il tomba nez à nez avec le petit garçon. "Petit" avait été le qualificatif qui avait déterminé sa vie. Le plus jeune d'une grande famille, le plus chétif. Dans ce monde hélas ce petit bout d'homme avait encore moins conscience de sa valeur et restait souvent seul et silencieux. Il ne lui avait d'ailleurs jamais parlé, alors pourquoi avoir choisit cet instant précis ? Le seul où lui, n'était pas enclin à la conversation ? Adressant un regard qu'il espérait retenu, au vu de la frustration qui montait en lui, Mr Gold s'avança vers le nouveau venu, une étrange écharpe jaune pendant encore sur son épaule droite.
Re: Les bottes de sept lieues ? Un contrat en perspective -Flash back [feat Mr Gold ] Lun 26 Mai - 14:54
Invité
Les bottes de sept lieues? Un contrat en perspective
Maximilien ~ Mr Gold
Aussi loin que remonte tous mes souvenirs, jamais je n'avais pédalé aussi vite et je n'avais été aussi rapide, sans mes bottes, j'entends. C'était très important pour moi, elle représentait ma véritable histoire, ce que j'étais devenu, ce qui me différenciait des autres garçons de mon âge, en dehors de ma petite taille. Je n'ai que douze ans, j'ai encore le temps pour une poussé de croyance, pas de jugement dessus parce que j'y crois, je ne suis pas un nain non plus ! J'observais avec une certaine appréhension la boutique, les objets présents dans la pièce, certains semblaient avoir de la valeur et d'autre moins, mais au fond de moi, je me disais que chaque objet ici devait avoir sa valeur pour que Mr Gold ait daigné l'obtenir. Je continuais d'avancer jusque son comptoir quand j'aperçus celui que je voulais rencontrer, et sans vouloir jouer les vantard il n'avait pas l'air si impressionnant, enfin la force ne dépend pas du physique. Je sentais que l'homme ne semblait pas si content d'avoir un client à ce moment, je me retournais vers la porte d'entrée et remarquais en effet que l'écriteau indiquait que la boutique était fermée. Je tombais au mauvais moment, mais il était trop tard pour reculer, j'avais retrouvé mon caractère franc bien que discret et j'entreprenais de tout lui expliquer alors que celui-ci me demandait ce que je cherchasse.
-" Bonjour, euh monsieur Gold... je..."
J'inspirais doucement, cet homme au allure calme et sereine inspirait tout de même un charisme intimidant, et j'en perdais un peu mes moyens, c'est sûrement le timide en moi qui ressortait.
"J'ai recouvré la mémoire... Enfin il me semble... La... la malédiction est-elle rompue ? La sauveuse a t'elle réussi ?"
J'étais au courant pour l'histoire de la sauveuse, au moment ou la malédiction s'est rependue sur tout le royaume, je me trouvais dans le château de Blanche-neige. Je n'avais pas participé au conseil pour autant, j'étais trop jeune et je n'avais pas non plus pris par au combat. J'avais foi en ce que nous disait Blanche-Neige, j'attendais que la malédiction nous submerge en espérant que ce jour, aujourd'hui arriverait. Je ne m'étais pas attendu à ce genre de malédiction, à me retrouver dans un monde comme celui-ci, être comme maintenant.
"Mais si je suis là c'est surtout pour une raison précise..."
J'inspirais doucement en me préparant à lui exprimer ma demande, il se douterait sûrement déjà de ce que j'allais lui demander ou sûrement pas toutefois, il fallait que je le lui demande et pas que je recule, non, il ne fallait sûrement pas reculer.
"Je suis à la recherche de mes bottes et j'ai pensé qu'elles se trouveraient ici"
Je les cherchais du regard, mais je ne les voyais pas, sûrement étaient-elles dans l'arrière-boutique ou bien, elles n'étaient peut-être pas là. Mais elles ne pouvaient être qu'ici, ou serait-elle sinon ? Rumplestiltskin aimait et doit sûrement encore aimer dans ce monde aussi les objets de grande valeur et pouvant représenter un intérêt pour lui. Je ne savais que pensé, j'attendais simplement sa réponse.
"Si... c'est le cas... J'aimerais les récupérer.."
Je craignais surtout du prix pour lequel il me les rendrait si toutefois, il acceptait, je n'avais rien ici, j'étais pauvre et Pierre gagnait à peine de quoi subvenir à nos besoins. Et je n'avais pas vraiment envie de tenter de le voler, cela me paraissait une mauvaise idée. Je valais mieux que le vol... Même si j'avais obtenu ces bottes justement pas celui-ci, mais c'était dans un instinct de survie, je ne voulais pas le refaire...
Re: Les bottes de sept lieues ? Un contrat en perspective -Flash back [feat Mr Gold ] Lun 16 Juin - 1:27
Pepsy
∂6 Conte : Aucun Rubis : 55
Les bottes de sept lieues? Un contrat en perspective
Maximilien ~ Mr Gold
Le jeune garçon marqua une hésitation. Il n’était pas très alaise. Ce qui n’étonna pas l’antiquaire. Les gens d’ici –bien qu’il n’ai aucun souvenir du véritable danger qu’il représentait- semblaient ressentir le monstre/la menace qui vivait en lui et évitaient d’ordinaire de croiser sa route. Et c’était bien la première fois que son interlocuteur avait osé l’approcher d’aussi prêt. Cependant il ne fallu pas longtemps avant que Gold ne comprenne son geste. Ainsi il avait retrouvé la mémoire ? Voilà qui était intéressant…
Les idées claires, le cœur excité par la nouvelle et l’espoir qui palpitait aux travers de ses yeux tout à travers lui racontait bien plus que ce qu’il n’avait consenti à lui dire. On lui avait dit : « le petit poucet est un garçon ingénieux. » Bien plus encore qu’Henri semble-t-il qui lui, suivait trop souvent son cœur et accordait sa confiance avec trop de hâte. Si henri lui rappelait un peu lui quand il avait été enfant, Maximilien lui représentait tout ce qu’il aurait voulu être : un homme combatif et voué à sa cause. S’il avait appris plus tôt à conter que sur lui-même, il n’en serait arrivé là. Oui Maximilien était un grand derrière les apparences et sa discrétion. Mais il ne fallait pas exagérer nomplu, il demeurait un enfant avant tout. La preuve était qu’un simple regard de l’antiquaire avait réussit à l’interrompre. Il inspirait fortement comme pour se donner du courage avant de clarifier sa requête. On peut dire que malgré son angoisse, il n’avait pas perdu de temps. Sans doute était-ce du à la tempête qui grondait au dehors, et à se sentiment qu’autour d’eux le monde implosait… Cependant, il ne semblait pas angoissé, il devait se savoir en sécurité…
▬ Il semblerait que tu ai déjà la réponse à ta question. Comment sinon aurait-tu su que tu devais venir me voir ? Lui répondit-il avec un sourire doux avant de continuer comme pour s’amuser avec lui : Il est inutile de poser une question quand on en connait déjà la réponse... Son sourire s’élargit devant la réaction de l’enfant. Néanmoins si tu veux tout savoir…
C’est alors qu’il lui racontât les détails de l’après-midi, non sans inciter sur la morale de cette histoire qui était que la magie était une force imprévisible et aux combien puissante. Il ne savait véritablement pourquoi mais Maximilien aurait besoin de le savoir. Se balader avec des bottes enchantées avait peut être été amusant à ses premiers jours, mais qui sait dans quelques années le prix qu’il aurait à en payer.
▬ Tu sais d’ailleurs qu’il y a toujours un prix n’est-ce pas ? Je sais qu’elles ne t’appartiennent pas véritablement tu sais. Je sais cela comme beaucoup de choses…
Il n’avait pas admis qu’ils les possédaient, à dire vrai aussi passionné qu’il soit envers les objets enchantés, Rumpelstiltskin avait toujours su négocié ce qu’il convoitait, et admettre ainsi qu'il devait ce service à Régina, exposerait son implication dans la malédiction. Il n’était pas très utile de la faire connaître à tous. Surtout par ces temps ci. C’est pourquoi il souhaitait savoir ce que cela pourrait lui apporter pour ainsi s'exposer.
Re: Les bottes de sept lieues ? Un contrat en perspective -Flash back [feat Mr Gold ] Mar 24 Juin - 14:54
Invité
Les bottes de sept lieues? Un contrat en perspective
Maximilien ~ Mr Gold
J'étais bel et bien motivé à récupérer mon trésor, qu'il se situe chez le Ténébreux ou non, mais j'avouais avoir eu plus de courage qu'au moment de lui faire face. Pourtant, son apparence était plutôt celle d'un homme ordinaire, mais il en dégageait quelque chose de fort et je me sentais impressionné. Et puis il faut le dire, dans l'autre monde, j'avais beaucoup entendu parler de lui, mais je ne l'avais jamais réellement rencontré en face à face et dans ce monde-là, le petit garçon que j'étais n'avait pas besoin de rendre visite au propriétaire de la ville. Mais maintenant, j'étais là, je lui expliquais avec une certaine joie que j'avais retrouvé la mémoire et que la sauveuse avait réussie loin de me dire qu'il s'en doutait et que presque tout était planifié. Je ne perdais malgré pas le nord et inspirant un grand coup, je prenais mon courage à deux mains pour lui exprimer ma requête, je sentais quelque chose se préparait et je ne voulais pas devoir l'affronter sans mes bottes, car cette tempête ne présageait rien de bon, rien de bon du tout. J'écoutais chacun de ses mots en prenant garde, je savais que je devais faire attention les mots de Rumplestiltskin sont sa première arme, bien sûr, il pouvait me transformer en escargot et me tuer sur-le-champ, mais quel intérêt en tirerait-il ? Aucun et je le savais. Il confirmait indirectement mes dires en souriant, d'une main, je tenais mon autre bras en observant l'homme droit dans les yeux tandis ce qu'il me disait qu'il était inutile de poser une question dont on connait déjà la réponse, je baissais rapidement les yeux avant qu'il ne reprenne la parole me contant les événements de cette après-midi qui allait tout changer. Je l'écoutais attentivement d'ailleurs. Et c'est alors qu'il me demandait si je savais qu'avec la magie, il y a toujours un prix à payer. Je hochais alors doucement la tête restant silencieux alors qu'il me précisait savoir qu'elles ne m'appartenaient pas. Comment pouvait-il le savoir ? Que savait-il d'autre sur moi ? Je me le demandais bien.
« Je... »
Soufflant un bon coup, je reprenais mon courage à deux mains. Je n'étais pas le genre de garçon à faiblir devant quelqu'un même s'il peut se montrer machiavélique ou dangereux.
« Je sais bien qu'il y a un prix à payer et je le payerais au moment de le faire, mais j'aimerais vraiment les récupérer. »
Je craignais de devoir en passer aux négociations, je m'en doutais, il ne me les donnerait pas gratuitement pour mon bon plaisir et par charité, non, je l'entendais me demander pour quelle raison devrait-il m'aider. Résigné, je le regardais alors avant de hausser les épaules et de reprendre l'une de ses précédentes phrase.
« Il est inutile de poser des questions dont on connait déjà la réponse... Que voulez-vous en échange ? »
Je serrais les poings et je soupirais légèrement, j'espérais juste ne pas m'attirer dans de beaux draps. De toute façon, je me demandais bien ce qu'un garçon comme moi pourrait faire en échange, je n'avais rien à donner et je ne voyais pas quel service lui rendre.. D'un air déterminé, une lueur dans les yeux, j'ajoutais.
Re: Les bottes de sept lieues ? Un contrat en perspective -Flash back [feat Mr Gold ] Sam 26 Juil - 17:05
Pepsy
∂6 Conte : Aucun Rubis : 55
Les bottes de sept lieues? Un contrat en perspective
Maximilien ~ Mr Gold
Alors que la nuit s’annonçait au travers de violents orages, les deux hommes s'étaient peut à peut installer dans le coeur d'une discussion profonde sans remarquer que la nature aux dehors ne leur offrait désormais plus échappatoires. Abonnant ces espoirs de solitude fasse à la ténacité de son visiteur, Gold avait fini par quitter ses habits de voyages, tout au moins le peu qu'il en avait c'est à dire son veston et son écharpe, et avait allumé quelques lampes. Hélas aux manques de ses anciens feu de cheminé, juger trop toxique et contraignants, les radiateurs électriques mesuraient une faible compensation fasse à la vétusté de l'établissement dont l'air froid et humide filtrait à travers les murs.
Les heures s'écoulèrent donc durant lesquels l'antiquaire ne bouda pas son plaisir pour sonder son interlocuteur. Bien que réticent à subir un interrogatoire, la condition était claire : nul ne passait d'accord avec lui sans qu'il ne sache jusqu'à quel point son sujet puisse s'impliquer. Mais force de courage, le Poucet ne trahissait pas à ça réputation et demeurait de plus en plus déterminé au fil de ses réponses.
Regardant intensément le jeune garçon qui lui faisait face, l'antiquaire semblait peser en lui divers arguments. D'un côté il n'avait jamais imaginé d'aide de sa part, voilà pourquoi depuis des années, il s'était simplement contenter de lui adresser quelques mots. Mais de l'autre, aussi précieux trésors soit ses bottes magiques, elles ne lui servaient en rien sans son porteur. Autrement dis, il devait en tirer avantage.
* Mais comment ?...* se demanda-t-il. en se plongent davantage dans un silence de réflexion.
Durant quelques minutes, il ne dit rien, se contentent de balayer son regard nuit sur l'espace qui les entouraient, se moquent bien de ce que pouvait ressentir Maximilien. Puis il eut un déclic. Un sourire vient élargir le coin de ses lèvres serrée. Pour une fois ce n'était pas David avec ses suppliques lamentables qui venait le solliciter. Cette fois-ci il pourrait lui aussi tirer avantage de cette petite conversation. Un instant avec Max, qui ne serait pas inutile tout compte fais.
▬ Te rappels tu l’existence du Pays Imaginaire ? Après un léger silence il reprit. Il renferme en ces terres un trésor que j'ai toujours convoité mais que je ne peux récupérer en personne.
Son oeil pétillait tandis qu'il s'imaginait déjà toutes les interrogations que pouvait avoir le jeune garçon. Quand bien même s'en souvienne-t-il, il devait forcément se demander comment y parvenir. Et certainement aussi se demandait-il pourquoi Gold ne pouvait s'en charger directement ? On prétendais le petit poucet curieux. Certainement sans raisons. Aussi préféra-t-il détourner la conversation quelque peut. Il avait désormais tant de choses à lui apprendre. Et, à dire vrai un mince espoir de réussite. L'enfant lui paraissait comme beaucoup d'autre à son age, impatient, impulsif. Tant de défauts qui lui retirerait toute ses chances en cet endroit maudit.
▬ Ce que tu devras y chercher, ressemble à une montre. Mais tu t’apercevras vite qu'il ne s'agit pas d'une montre ordinaire.